Assurance emprunteur : le bon choix entre contrat bancaire et contrat individuel

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L’assurance de prêt immobilier est une protection essentielle pour la banque et son client. Exigée par le prêteur, elle peut toutefois être choisie librement par l’emprunteur. Chacun a le droit de souscrire le contrat bancaire ou de lui préférer une assurance externe individuelle. Examinons les différences entre ces deux options. Avant cela, un petit rappel de la législation qui encadre l’assurance de prêt immobilier.

Les lois en assurance emprunteur

Dans une économie de marché, il est normal qu’un consommateur puisse choisir à sa guise le produit qu’il achète. Ce droit est arrivé tardivement dans le domaine de l’assurance de prêt immobilier, une dépense contrainte pour l’emprunteur afin de garantir la bonne fin de son crédit en cas de décès, d'invalidité et d’incapacité de travail. Ce n’est que depuis septembre 2010 que vous pouvez souscrire à l’assurance de prêt de votre choix et refuser la formule proposée par la banque qui vous prête les fonds.

La loi Lagarde a introduit le principe de délégation d’assurance qui consiste à souscrire à une garantie emprunteur auprès d’un prestataire concurrent de la banque. En tant qu’emprunteur, vous n’êtes pas obligé d’être couvert par la proposition d’assurance bancaire : à charge pour vous de présenter un contrat alternatif qui affiche a minima une équivalence de garanties.

Difficile à mettre en œuvre lors de la demande de financement, le libre choix de l’assurance de prêt peut s’opérer sur toute la durée de remboursement. Le législateur a renforcé la liberté de choix par deux dispositifs, qui seront remplacés en 2022 par la loi Lemoine :

  • la loi Hamon de juillet 2014 qui autorisait la substitution à tout moment au cours de la première année du prêt ;

  • la loi Bourquin de janvier 2018 qui élargissait cette opportunité au-delà des douze premiers mois, à échéance annuelle.

On en vient à la troisième et dernière réglementation, la loi Lemoine qui libéralise plus largement le marché en donnant le droit à chaque emprunteur de changer d’assurance de prêt immobilier beaucoup plus facilement, car à tout moment, sans imposer de date butoir ni de délai de préavis.

Grâce à la liberté de choix et de changement, les emprunteurs peuvent mieux maîtriser le coût de leur assurance, qui représente en moyenne un tiers du coût final du crédit immobilier. Toute la difficulté est de sélectionner le contrat le plus compétitif, adapté à sa situation pour être protégé en toutes circonstances.

Pour tester vos connaissances en assurance de prêt immobilier, jouez au jeu 2023 du vrai/faux et retrouvez tous les changements apportés par la loi Lemoine.

L’assurance groupe bancaire : la solution évidente

La banque est en position de force pour commercialiser ses contrats d’assurance emprunteur. C’est elle qui distribue les financements, elle a l’autorité naturelle du professionnel qui vend un produit auquel son client ne peut se soustraire.

Souscrire à l’assurance bancaire est la solution de facilité et l’on ne peut reprocher à un emprunteur de vouloir sauver son projet immobilier en adhérant au produit maison sans s’inquiéter des conséquences financières. Il appartient par ailleurs à la banque de définir les garanties qu'elle exige pour octroyer le prêt. L’assurance emprunteur est le coût caché d’un crédit immobilier, trop peu d’emprunteurs lui accordent l’attention qu’elle mérite, généralement par manque d’information et par pression de la banque.

Le contrat groupe bancaire présente les caractéristiques suivantes :

  • les risques sont mutualisés : la couverture concerne une communauté d’emprunteurs, ceux qui présentent le moins de risques compensent ceux qui sont considérés à risques accrus (âge, santé, profession).

  • la prime est calculée sur le capital emprunté et reste la même au fil du remboursement des mensualités.

La solidarité entre emprunteurs pénalise de facto les profils sans ou avec peu de risques : ils paient pour les autres. Le fait de souscrire en interne évite en revanche la recherche d'une autre formule et facilite les formalités administratives.

L’assurance individuelle : une offre personnalisée

La libéralisation du marché a toutefois engendré une certaine segmentation des offres bancaires. La concurrence a du bon ! Mais pour une réelle personnalisation de la couverture, il faut se tourner vers les contrats individuels

  •  Ceux-ci répondent aux besoins de chacun, les garanties étant établies sur la base des risques incarnés par l’emprunteur.

  • Pour chaque profil s’applique un tarif, chacun étant protégé sur-mesure au juste prix

  • Quelle que soit votre problématique (problèmes de santé, emprunteur senior, métier à risques, pratique d’un sport à risques), les assurances individuelles proposent une couverture adéquate qui vous garantit une protection optimale en cas d’accident ou de maladie.

La plupart des contrats alternatifs calculent le coût de l’assurance sur le capital restant dû : la prime d’assurance diminue à chaque mensualité. Une surprime assurance emprunteur peut s’appliquer en cas de risques accrus, voire une exclusion de garantie qu’il est possible de racheter sous certaines conditions (maladies non objectivables).

Le match assurance groupe/assurance individuelle

L’arbitrage entre assurance groupe et assurance individuelle est simple à faire : il vous suffit de mettre les offres en concurrence via un comparateur d’assurance de prêt immobilier et de comparer les garanties du contrat bancaire avec celles proposées par les contrats alternatifs grâce à la fiche standardisée d’information remise par votre banque lors de votre demande de prêt. À garanties équivalentes, les seconds se révèlent le plus souvent moins chers que les premiers. Le delta est énorme, puisque le coût de l’assurance peut être réduit de 60%.

Si vous n’avez pas pu souscrire à l’assurance de votre choix dès le départ, la loi Lemoine vous permet de vous rattraper en changeant de formule quand vous le jugez opportun. Consultez notre baromètre du pouvoir d’achat immobilier de novembre 2023 pour constater l’ampleur des économies potentielles en substituant le contrat bancaire par une assurance déléguée.

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Un amendement prévoit de supprimer les abattements pour durée de détention et d’appliquer un abattement calculé à partir du prix d’achat actualisé en fonction de l’inflation. La plus-value serait alors taxée à 30%, identique à la flat tax appliquée sur les produits de placement. Si la réforme est votée, elle se mettra en place à partir de janvier 2026 pour les terrains à bâtir et de janvier 2027 pour les biens construits. Changement du régime fiscal sur les locations meublées Les propriétaires sous statut LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel) ne pourront plus profiter de la déduction d’une partie des charges de leurs revenus locatifs en cas de vente. Le PLF 2025 supprime l’avantage fiscal lié à l’amortissement lors de la revente du bien : la somme des amortissements déduits sera en effet réintégrée dans le calcul de la plus-value. Cette mesure vise à corriger une particularité du régime fiscal LMNP qui contribue aux tensions sur le marché locatif, notamment dans les zones touristiques où pullulent les locations meublées de courte durée, alimentant la pénurie de logements pour les résidents permanents. Fin du Pinel en 2025  Trop cher pour les finances publiques pour un résultat mitigé, le dispositif de défiscalisation immobilière Pinel disparaît en 2025. Mesure de soutien à la construction de logements à loyers intermédiaires, le Pinel bénéficie toutefois d’un court sursis, puisque la date butoir a été reportée au 31 mars 2025. Pour profiter de l’avantage fiscal lié au Pinel, vous devez avoir signé l’acte notarié au plus tard le 31 décembre 2024. Aucun autre dispositif visant à inciter les investisseurs à acheter dans le neuf ne vient remplacer le Pinel. L’État préfère favoriser la rénovation des logements anciens par le biais de MaPrimRénov et du Prêt à Taux Zéro (PTZ). 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Santé dentaire : vers un remboursement des implants en 2025

Jusqu’à présent, les implants dentaires ne bénéficient d’aucun remboursement de la part de l’Assurance maladie. Les mutuelles peuvent proposer une prise en charge qui reste partielle et ne couvre jamais la lourde dépense engagée. Cela pourrait changer à l’avenir. La Haute Autorité de Santé (HAS) se dit favorable au remboursement des implants, comme cela se fait déjà pour les prothèses dentaires. Remboursement implant dentaire : avis favorable de la HAS Pour améliorer l’accès aux soins dentaires, la HAS s’est prononcée, mercredi 6 novembre, en faveur du remboursement des actes implanto-prothétiques par l’Assurance maladie. En cas de dent(s) manquante(s), l’autorité de santé recommande que soit garantie la prise en charge financière des implants dentaires selon des modalités qui reste à définir. Actuellement, la seule option remboursée pour un patient édenté est la pose d’un bridge via le dispositif 100% Santé : après intervention de la Sécurité Sociale et de la mutuelle santé, le remboursement est intégral si l’équipement est sélectionné dans le panier sans reste à charge, ou partiel sur la base de tarifs encadrés ou libres. Le défaut du bridge est de détériorer les dents voisines car il s’appuie sur elles.  En revanche, l’implant dentaire s’avère non seulement la solution prothétique la plus esthétique, mais il évite surtout d’endommager les dents situées à gauche et à droite de la dent manquante. La HAS étudie la pertinence de la prise en charge financière des implants pour 2 types d’édentement : Édentement complet par prothèse amovible complète implanto-retenue (PACIR) : cette solution améliore la stabilité des dentiers. Édentement unitaire (une ou deux dents) prothèse fixée unitaire supra-implantaire (PFUSI) : ce dispositif permet de conserver les dents saines adjacentes contrairement au bridge traditionnel. En France, comme partout ailleurs dans le monde, le nombre de personnes édentées ne cesse d’augmenter en raison de l’allongement de l’espérance de vie. D’ici 2030, environ 30% de la population mondiale serait touchée par un édentement total. Perdre une ou plusieurs dents, voire se retrouver complètement édenté, constitue un triple handicap (fonctionnel, esthétique et social) qui a des conséquences sur la santé en général, comme la dénutrition. Malgré l’absence de prise en charge par le régime général, un million d’implants dentaires ont été réalisés en France en 2023. Implants : La solution pour une bonne santé bucco-dentaire Restaurer sourire et fonction Les implants dentaires représentent aujourd'hui la solution médicale la plus performante pour remplacer une dent manquante. Au-delà de l'aspect esthétique, ils garantissent une reconstruction complète et durable de l'appareil dentaire. Bénéfices essentiels :  Préservation de la structure osseuse : L'implant stimule naturellement l'os maxillaire, prévenant sa fonte progressive. Restauration complète de la mastication : Efficacité identique à une dent naturelle. Protection des dents adjacentes : Évite la migration et le déséquilibre dentaire. Technique moderne Réalisés en titane biocompatible, les implants s'intègrent parfaitement à la mâchoire. La pose, réalisée par des professionnels experts, garantit une intervention minimaliste et un résultat optimal. Santé globale Un implant dentaire ne répond pas simplement à un problème local. Il contribue significativement au bien-être général : meilleure alimentation, confiance restaurée et prévention des complications à long terme. Choisir un implant, c'est préserver durablement sa qualité de vie, mais son coût peut être un frein. Quel est le prix moyen d’un implant dentaire ? Le coût d'un implant dentaire varie significativement selon plusieurs facteurs essentiels. En moyenne, les patients peuvent s'attendre à investir entre 1 500 € et 3 500 € par implant. Cette fourchette de prix dépend de plusieurs paramètres : Complexité de l'intervention chirurgicale : Les cas nécessitant une greffe osseuse ou un traitement préalable augmentent naturellement le coût total. Expertise du praticien : Un chirurgien-dentiste spécialisé et expérimenté proposera généralement des tarifs plus élevés. Qualité des matériaux utilisés : L'implant peut être réalisé en titane ou en zircone, avec des prix variant selon la technologie. Localisation géographique : Les tarifs diffèrent sensiblement entre les grandes métropoles et les zones rurales. Comment sont remboursés les implants dentaires par les mutuelles ? Remboursement Sécurité Sociale La Sécurité sociale ne prend malheureusement pas en charge l’implantologie dentaire, la considérant comme un acte de convenance. Les patients doivent donc supporter l'intégralité du coût. Remboursement par la mutuelle Les mutuelles proposent différentes approches de remboursement : 1 - Niveau de garantie Les contrats les plus complets peuvent rembourser entre 30% et 70% du coût de l'implant. Certaines mutuelles appliquent des plafonds annuels spécifiques qui peuvent aller au-delà de 1000€. 2 - Options de remboursement Certaines mutuelles proposent des forfaits prothèses et implants dentaires. D'autres incluent une partie des implants dans leurs garanties "soins dentaires". Comment optimiser le remboursement d’un implant dentaire  Vérifiez précisément votre contrat mutuelle Demandez des devis détaillés auprès des chirurgiens-dentistes Comparez plusieurs mutuelles avant souscription La surcomplémentaire dentaire peut s’avérer une alternative pertinente pour diminuer voire supprimer le reste à charge sur les implants dentaires. Il convient d’arbitrer entre le surcoût représenté par ce 3ème niveau de couverture et le reste à charge que vous êtes prêt à assumer avec votre mutuelle actuelle. Un implant dentaire représente un investissement dans votre santé et votre bien-être. Malgré son coût élevé, c'est une solution durable et esthétique pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Un grand pas vient d’être fait en faveur du remboursement de cet acte prothétique onéreux. Reste à savoir quand la mesure sera mise en œuvre et quel sera le niveau de ce remboursement.

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Changement d'assurance prêt immobilier : -60% sur vos cotisations

L'assurance emprunteur représente une part significative du coût total de votre crédit immobilier. Grâce à la loi Lemoine entrée en vigueur en 2022, vous pouvez désormais réaliser jusqu'à 60% d'économies sur vos cotisations d'assurance de prêt en changeant de formule. Découvrez comment optimiser votre contrat et réduire significativement vos mensualités. Pourquoi changer d'assurance de prêt immobilier ? L'assurance emprunteur est imposée par la banque lors de la souscription d'un crédit immobilier. Elle protège à la fois l'emprunteur et le prêteur en cas d'invalidité, décès ou d’incapacité temporaire de travail. Cependant, les contrats proposés par les banques sont très souvent plus chers que ceux des assureurs spécialisés. Des économies considérables à la clé Économie moyenne entre 5 000€ et 15 000€ sur la durée totale du prêt Réduction pouvant atteindre 60% des cotisations mensuelles Obligation de respecter l’équivalence de niveau de garanties entre les 2 contrats La loi Lemoine : un tournant majeur pour les emprunteurs Cette réforme historique a bouleversé le marché de l'assurance emprunteur en introduisant trois changements majeurs : Résiliation à tout moment de votre contrat, sans attendre la date d’échéance ni engagement minimum de souscription Suppression du questionnaire médical pour les prêts n’excédant pas 200 000€ et remboursés avant le 60ème anniversaire de l’emprunteur Réduction du délai du droit à l'oubli pour les personnes ayant eu un cancer de 10 à 5 ans ; droit également applicable à l’hépatite C. Le processus de résiliation simplifié La résiliation de votre contrat actuel peut s'effectuer en quelques étapes simples : Demander une délégation d'assurance auprès d'un nouvel assureur Obtenir une proposition avec des garanties au moins équivalentes Envoyer votre demande de résiliation à votre assureur actuel Attendre la validation de votre banque : la réglementation lui impose de formuler sa réponse dans les 10 jours ouvrés. Comment obtenir la meilleure offre d'assurance emprunteur ? Pour maximiser vos économies, plusieurs facteurs sont à prendre en compte : Comparer les offres du marché Utiliser des comparateurs en ligne spécialisés Solliciter plusieurs devis personnalisés Analyser attentivement les garanties proposées Critères à prendre en compte Taux de couverture proposé : l'indicateur du coût de l'assurance est le TAEA ou Taux Annuel Effectif Assurance, obligatoirement mentionné dans tous les supports et contrats (en pourcentage du capital emprunté) Étendue des garanties (décès, invalidité, incapacité de travail, voire perte d'emploi) Exclusions de garantie et possibilité de rachat d’exclusions des maladies non objectivables Délais de carence éventuels Les garanties essentielles à maintenir Pour que votre nouvelle assurance soit acceptée par la banque, certaines garanties sont incontournables : Décès et Perte Totale et Irréversible d'Autonomie (PTIA) : couverture socle de tout contrat d'assurance emprunteur Incapacité Temporaire Totale de travail (ITT) Invalidité Permanente Totale ou Partielle (IPT/IPP) Le niveau minimum de couverture est défini par la banque et vous est communiqué via la fiche standardisée d’information remise lors de votre demande de prêt, et la fiche personnalisée qui détaille les garanties spécifiques à votre profil et votre projet immobilier. Focus sur les niveaux de couverture Le pourcentage de couverture doit être adapté à votre situation : Quotité assurance de prêt à 100% recommandée pour l'emprunteur principal (si emprunt à 2), celui qui touche les revenus les plus élevés Possibilité de moduler la couverture pour le co-emprunteur Adaptation selon les risques incarnés par chaque emprunteur Profils éligibles aux meilleures réductions Certains profils peuvent bénéficier de tarifs particulièrement avantageux : Jeunes emprunteurs en bonne santé Cadres avec une profession stable Non-fumeurs Personnes pratiquant une activité sportive régulière Cas pratique : exemple d'économies réalisées Pour un prêt de 250 000€ sur 20 ans (emprunteur âgé entre 25 et 35 ans) : Assurance bancaire au taux moyen de 0,34% : 57€/mois Assurance alternative au taux de 0,09% (taux moyen chez Magnolia.fr pour ce profil) : 15€/mois Économie réalisée : 42€/mois, soit 10 000€ sur la durée du prêt Comment procéder au changement d'assurance ? Pour changer d'assurance de prêt, suivez ces étapes : Rassemblez les documents nécessaires Tableau d'amortissement Conditions générales de votre assurance actuelle Notice d'information (conditions générales) Comparez les offres du marché Utilisez plusieurs comparateurs Contactez des courtiers spécialisés Demandez des devis personnalisés Vérifiez l'équivalence des garanties Analysez les exclusions Comparez les définitions de garanties Vérifiez les délais de franchise Changer d’assurance de prêt, une démarche rentable à long terme La renégociation de votre assurance de prêt immobilier représente une opportunité significative d'économies. Avec des réductions pouvant atteindre 60% de vos cotisations actuelles, cette démarche mérite d'être entreprise, d'autant plus que la loi Lemoine a considérablement simplifié le processus. N'hésitez pas à vous faire accompagner par un courtier spécialisé pour optimiser vos chances d'obtenir la meilleure offre possible tout en conservant des garanties optimales pour votre prêt immobilier.