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Prendre rendez-vousL'assurance vie est un produit d'épargne polyvalent, c’est l’un des placements les plus prisés en France, avec près de deux tiers des foyers qui en détiennent une. Souscrire une assurance-vie, c’est se constituer un capital tout en offrant des options de transmission de patrimoine et de préparation de la retraite. Cependant, pour tirer le meilleur parti de ce type de contrat, il est essentiel de bien comprendre ses modalités : fiscalité, frais associés, souscription et choix d’investissements.
Qu'est-ce que l'assurance vie et comment fonctionne-t-elle ?
L’assurance vie est un produit d’épargne permettant de constituer ou de transmettre un capital. C’est donc un type de contrat qui peut être utilisé à la fois comme un outil d'épargne et comme une solution de transmission de patrimoine. À son terme ou en cas de décès, le capital est transmis au bénéficiaire désigné, généralement avec des conditions fiscales favorables.
Fonctionnement de l’assurance-vie
Le souscripteur verse des sommes appelées primes. Ces dernières fructifient au fil du temps, offrant un rendement potentiellement variable.
À l’issue du contrat, selon l'événement déclencheur choisi (survie ou décès), un capital ou une rente est versé soit au souscripteur, soit à ses bénéficiaires.
Quels sont les différents types de contrats d'assurance vie ?
Il existe trois types de contrats d'assurance vie :
- L'assurance en cas de vie garantit le versement d'un capital ou d’une rente si le souscripteur est en vie au terme du contrat, on dit aussi que le souscripteur survie. Ce type d’assurance est souvent utilisé comme placement ou comme un outil d’épargne pour la retraite.
- L'assurance en cas de décès, quant à elle, prévoit le versement d'un capital ou d'une rente aux bénéficiaires désignés en cas de décès du souscripteur.
- Le contrat mixte de vie et décès combine les deux précédents.
Pourquoi souscrire une assurance-vie ?
L’assurance vie est un produit flexible qui s’adresse à tout le monde, peu importe l’âge ou le profil d’investisseur. L’un de ses principaux atouts est la possibilité d’adapter le niveau de risque selon ses préférences, en choisissant des fonds sécurisés (comme les fonds en euros) ou des placements plus dynamiques (les unités de compte). En plus de s’ajuster à chaque profil, l’assurance vie permet de préparer l’avenir en constituant une épargne solide pour des projets de vie ou pour bénéficier d’un capital complémentaire à la retraite.
L’argent placé reste disponible à tout moment, ce qui en fait un placement à la fois souple et sécurisé : il est possible d’effectuer des retraits partiels ou même de clôturer le contrat en cas d’imprévu. De plus, l’assurance vie bénéficie d’une fiscalité avantageuse après huit ans de détention, ce qui allège la taxation des gains au moment des retraits. Enfin, le souscripteur peut désigner librement son ou ses bénéficiaires, permettant ainsi une transmission de patrimoine optimisée en cas de décès, avec des abattements fiscaux spécifiques.
Quels sont les supports d'investissements d’une assurance vie ?
Dans une assurance vie, les supports d’investissement permettent de faire fructifier le capital selon différents niveaux de risque et de rendement, répondant aux profils variés des épargnants. Les principaux supports sont le fonds en euros et les unités de compte.
Le fonds en euros est le support sécurisé de l’assurance vie. Il garantit le capital investi et génère un rendement stable, quoique modéré, car il est principalement composé d’obligations. Les gains obtenus sont ajoutés au capital chaque année (au 31 décembre) grâce à l’effet cliquet, ce qui sécurise les intérêts. Ce support convient particulièrement aux épargnants recherchant une sécurité maximale pour leur épargne, sans prise de risque.
Les unités de compte (UC), en revanche, sont des supports plus dynamiques. Elles permettent d’investir dans divers actifs comme des actions, de l’immobilier, ou des fonds thématiques. Contrairement aux fonds en euros, les unités de compte ne garantissent pas le capital : leur valeur fluctue en fonction des marchés financiers, offrant un potentiel de rendement plus élevé, mais aussi un risque de perte. Ce support est donc adapté aux profils qui visent un rendement supérieur et qui sont à l’aise avec une prise de risque.
Une combinaison de fonds en euros et d’unités de compte dans un contrat multi-supports permet de diversifier les placements pour concilier sécurité et performance, et d’ajuster le niveau de risque en fonction des objectifs de chacun.
Gestion de l'assurance vie, quels sont les différents modes ?
L’assurance vie propose plusieurs modes de gestion pour s’adapter aux objectifs et au niveau d'implication de chaque épargnant.
- La gestion libre : Ce mode de gestion permet au souscripteur de piloter lui-même ses investissements, en choisissant les supports (fonds en euros, unités de compte) et en modifiant sa répartition en fonction de l’évolution des marchés. Ce mode convient aux profils autonomes, ayant des connaissances en investissement et souhaitant avoir un contrôle total sur leur contrat.
- La gestion pilotée : Ici, la gestion est confiée à des professionnels. Ces derniers adaptent les placements en fonction d’un profil de risque défini à l’avance : prudent, équilibré, dynamique. Ce mode convient aux épargnants cherchant une gestion optimisée, sans se charger des décisions d’investissement.
- La gestion sous mandat : Semblable à la gestion pilotée, ce mode confie la gestion des fonds à un gestionnaire de patrimoine ou une société spécialisée, mais avec une personnalisation plus poussée. Le gestionnaire prend toutes les décisions en tenant compte des attentes, des objectifs et de la tolérance au risque du souscripteur.
- La gestion profilée : Ce mode propose des profils d’investissement prédéfinis, par exemple prudent, équilibré ou offensif, selon le niveau de risque accepté. Le profil est choisi en fonction de l’horizon d’investissement et des objectifs, et les supports sont ajustés automatiquement en conséquence. Avec la gestion profilée, c’est le professionnel qui prend toutes les décisions selon le profil de l'épargnant.
- La gestion à l’horizon : Également appelée gestion évolutive, ce mode adapte la répartition des supports selon l’âge ou l’échéance du projet. Au départ, les investissements sont plus dynamiques (unités de compte), puis ils se sécurisent progressivement (fonds en euros) à mesure que l’échéance approche. Ce mode de gestion est idéal pour les projets à long terme, comme la retraite, et pour les profils qui souhaitent limiter les risques au fil du temps.
Fiscalité d'une assurance vie, comment cela fonctionne ?
La fiscalité de l'assurance vie est particulièrement avantageuse et se distingue en deux temps : pendant la durée du contrat et au moment du rachat ou du décès.
Fiscalité de l’assurance-vie pendant la durée du contrat
Pendant la durée du contrat, les intérêts générés par les fonds en euros et les unités de compte ne sont pas imposables, tant que vous laissez fructifier votre capital sans effectuer de retrait. Seuls les prélèvements sociaux s’appliquent aux intérêts du fonds en euros, à hauteur de 17,2 %, et ce uniquement si une partie ou la totalité de votre capital est investie sur ce support.
Fiscalité de l’assurance-vie au moment du rachat
Lorsqu’un souscripteur retire une partie ou la totalité de son épargne, seules les plus-values (intérêts et gains) sont soumises à l’imposition. Le montant total versé, c'est-à-dire le capital sans les intérêts, ne sera pas imposé.
Si le contrat a plus de 8 ans, le souscripteur bénéficie d’un abattement annuel sur les gains : 4 600 € pour une personne seule et 9 200 € pour un couple. Cela signifie que le titulaire du contrat ne paiera pas d’impôts sur les premiers 4 600 € de gains.
Pour le reste des gains, il a deux options d’imposition :
- Intégrer les gains à l’impôt sur le revenu : Les gains peuvent être ajoutés à vos revenus annuels, selon votre tranche d'imposition marginale (TMI). Cela peut être avantageux si votre tranche d'imposition est plus faible.
- Opter pour le prélèvement forfaitaire unique (PFU) : Si le souscripteur ne souhaite pas que ses gains soient ajoutés à ses revenus annuels, il peut choisir le PFU. Ce dernier est de 12,8 %, accompagné de 17,2 % de prélèvements sociaux, ce qui donne un total d’environ 30 % en cas de rachat. Cependant, pour les contrats de plus de 8 ans, le taux du PFU est réduit à 7,5 %, ce qui est encore plus avantageux.
Important : L’abattement ne s'applique que sur la part du capital inférieure à 150 000 € (ou 300 000 € pour un couple). Les montants supérieurs à ces seuils seront soumis au taux de 12,8 %. |
Fiscalité de l’assurance-vie en cas de décès
L’assurance vie permet également de transmettre un capital dans un cadre fiscal favorable. Les bénéficiaires désignés dans le contrat peuvent percevoir le capital transmis en cas de décès du souscripteur, avec des abattements fiscaux.
- Pour les primes versées avant 70 ans, chaque bénéficiaire bénéficie d’un abattement de 152 500 €, au-delà duquel un prélèvement forfaitaire de 20 % est appliqué jusqu’à 700 000 €, et de 31,25 % au-delà.
- Les primes versées après 70 ans bénéficient d’un abattement global de 30 500 € sur le capital transmis, avec une imposition sur les sommes excédant ce seuil, mais les gains sont exonérés de droits de succession.
Remarques :
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Quels sont les différents frais appliqués à un contrat d'assurance vie ?
- Frais de gestion :
Leur montant varie considérablement en fonction du mode de gestion choisi. Ces frais incluent ceux prélevés par l'organisme de gestion ainsi que ceux appliqués par la banque ou l'assureur. Si c'est l'assureur ou la banque qui gère le contrat, ce sera ce dernier qui fixera les frais. En général, ces frais sont facturés annuellement.
- Frais d’entrée :
Ces frais sont appliqués lors du versement initial. Ils dépendent de l'assureur et du montant de ce premier versement. Certaines compagnies peuvent exonérer ces frais si le montant de l'acompte dépasse un certain seuil.
- Frais de gestion :
Ils sont prélevés chaque année sur le capital investi et varient selon les supports choisis.
- Frais d'arbitrage :
Ces frais sont souvent liés au montant transféré lorsque le souscripteur modifie la répartition de son capital. Par exemple, des frais d'arbitrage s'appliquent lorsque des fonds sont déplacés d'un support (comme le fonds en euros) vers des unités de compte. Ils peuvent également être proportionnels au montant investi dans ces unités de compte.
Souscrire une assurance vie, comment procéder ?
Pour souscrire une assurance vie, il faut commencer par choisir l’organisme, cela peut être un assureur ou une banque, chacun propose des contrats variés. Pour faciliter la comparaison des offres, l'utilisation d'un comparateur d'assurance vie est fortement recommandée. Cela permet d'examiner les différents frais et modes de gestion disponibles.
Une fois l’acteur choisi, il est nécessaire de remplir un formulaire de souscription et de fournir certains documents, généralement une pièce d’identité et un justificatif de domicile. Par la suite, le souscripteur doit déterminer le montant de son versement initial, choisir ses bénéficiaires, et répartir son épargne entre les différents supports d'investissement offerts par le contrat, qu'il s'agisse d'unités de compte, de fonds en euros, ou d'une combinaison des deux.
Le choix du mode de gestion doit se faire en concertation avec l'assureur, en tenant compte de son profil de risque et de ses connaissances sur le marché. Il est possible d'adhérer seul ou en couple, mais dans tous les cas, un versement initial sera requis. Selon les assureurs, ce montant peut être libre ou soumis à un minimum, et des frais d'entrée peuvent également s'appliquer.
Après avoir complété ces étapes, il ne reste plus qu'à signer le contrat et effectuer le versement initial.
Comment bien choisir son contrat d’assurance vie ?
Choisir une assurance vie est une décision importante qui nécessite une réflexion approfondie. Voici quelques conseils pour vous orienter vers le bon choix :
- Définir ses objectifs : Il faut clarifier vos objectifs financiers : préparation de votre retraite, constitution d’un capital ou transmission de votre patrimoine. Vos objectifs détermineront le type de contrat le plus adapté à vos besoins.
- Comparer les offres : Utilisez des comparateurs en ligne pour évaluer les frais, les rendements potentiels et les garanties offertes. Cela vous permettra d'identifier le contrat qui correspond le mieux à vos attentes.
- Vérifier les frais : Les frais de versement, de gestion et d’arbitrage peuvent varier d’un contrat à l’autre et influencer significativement la rentabilité de votre investissement.
- Examiner les options d'investissement : Certains contrats offrent une large gamme de choix, vous permettant ainsi de diversifier votre épargne et de l’adapter à votre profil de risque.
- Tenir compte de la fiscalité : Renseignez-vous sur les implications fiscales de votre contrat. L’assurance vie présente des avantages fiscaux, mais il est important de comprendre comment les retraits seront imposés et quelles options s'offrent à vous lors du rachat.
- Évaluer la solidité de l’assureur : La réputation et la solidité financière de l’assureur sont cruciales. Consultez les notations des agences et les avis des clients pour vous assurer que votre épargne est en sécurité.
Y a-t-il une restriction d'âge pour la souscription d’une assurance-vie ?
Il n'existe pas d'âge légal minimum pour souscrire une assurance vie. Ainsi, il est possible d'ouvrir un contrat pour un mineur, à condition d'obtenir l'accord des deux parents, qui devront signer le bulletin d'adhésion. Si le mineur a plus de 12 ans, il devra également apposer sa signature.
De plus, il n'y a pas d'âge maximum pour la souscription. Toutefois, il est important de noter que les versements effectués après 70 ans bénéficient d'une fiscalité moins favorable. Il est donc conseillé de souscrire avant d'atteindre cet âge.
Comment résilier une assurance vie ?
Il est possible de procéder à un rachat total de votre assurance vie en cours de contrat. Cependant, si vous avez désigné un bénéficiaire qui a accepté cette désignation, il est nécessaire de lui demander son accord avant d'engager cette démarche.
Il est crucial de noter que le rachat total équivaut à la résiliation de votre contrat. Cette action entraîne la perte de votre antériorité fiscale ainsi que de vos avantages associés. Pour éviter cela, il est conseillé de conserver la somme minimale requise par la compagnie d'assurance vie en effectuant un rachat partiel. Cela vous permet de maintenir votre contrat actif et de réaliser un nouveau versement ultérieurement pour continuer à épargner.
Concrètement, lorsque vous retirez la totalité du capital de votre contrat—que ce soit en cas de décès, de survie ou de rachat—l'assurance vie est résiliée. De plus, sachez que votre assureur ou votre banque a la possibilité de résilier votre contrat si les versements périodiques prévus à la souscription ne sont pas effectués.
*Source : Les contrats d'assurance-vie primés par le magazine Le Revenu/Trophées d'Or 2024
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