Assurance emprunteur et loi Lemoine 2022 : les banques jouent-elles vraiment le jeu ?

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En France, quelque 7 millions de ménages détiennent un crédit immobilier, nécessairement couvert par une assurance emprunteur. Ce produit contraint leur coûte cher, mais la réglementation les autorise à déléguer le contrat et même à en changer en cours de prêt pour économiser. Sur le papier ! Dans les faits, les banques captent 87% des parts de marché. La loi Lemoine applicable depuis juin 2022 devrait a priori changer la donne, sans pour autant ôter tous les verrous au changement.

Assurance de prêt immobilier : une succession de lois

La souscription à l’assurance emprunteur est un préalable à toute demande de prêt immobilier. Bien qu’elle ne relève pas d’une obligation légale, elle est systématiquement exigée par la banque pour sécuriser l’emprunt en cas de défaillance de l’emprunteur (décès, invalidité et incapacité pour arrêt de travail).

Son coût pèse lourd dans le TAEG (Taux Annuel Effectif Global), seul indicateur du coût final car il intègre tous les frais nécessaires à l’obtention du financement (intérêts, frais de dossier, garantie, assurance crédit immobilier). Pour permettre à l’emprunteur de maîtriser cette dépense qui représente en moyenne 30% du TAEG, le législateur a souhaité introduire davantage de concurrence, et faire obstruction au quasi-monopole des bancassureurs sur ce produit.

Trois lois fondamentales se sont succédées depuis 2010 :

  1. la loi Lagarde qui introduit le principe de libre choix du contrat en autorisant la délégation d’assurance : les emprunteurs ne sont plus soumis au contrat d’assurance groupe bancaire et peuvent souscrire l’offre alternative qui leur convient, sous réserve que l’équivalence de garanties soit respectée ;
  2. la loi Hamon de juillet 2014 qui permettait de changer d’assurance prêt immobilier à tout moment au cours de la première année du prêt ;
  3. l’amendement Bourquin de janvier 2018 qui ouvrait droit au changement annuel au-delà des douze premiers mois, avec un préavis de deux mois.

Malgré cet arsenal législatif, la position dominante des banques n’a pas bougé d’un iota : les prêteurs concentrent toujours à eux seuls 87% des cotisations annuelles en assurance de prêt après une décennie de dispositifs censés améliorer l’ouverture du marché à la concurrence.

Les contraintes mises par les banques à l’octroi du crédit empêchent les emprunteurs de profiter de la loi Lagarde, les obligeant à recourir en seconde intention aux lois Hamon et Bourquin s’ils veulent un meilleur tarif et parfois de meilleures garanties. Les emprunteurs les plus réactifs ont pu se placer sous la protection de la loi Hamon, plus simple à mettre en œuvre que l’amendement Bourquin, devenant la seule voie réellement accessible au libre choix, bien avant la loi Lagarde. 

Pourtant, les chiffres sont sans appel : les assureurs alternatifs proposent des contrats entre deux et quatre fois moins chers, ce qui permet à l’emprunteur de réduire le coût global de son crédit, et la situation qui prévaut en 2022 l’a démontré, de maintenir son TAEG sous l'usure afin de décrocher son prêt immobilier.

Pour éviter les fuites à chaque nouvelle loi, les banques se sont organisées, accentuant la pression sur les emprunteurs en faisant obstacle aux demandes de substitution via des pratiques indélicates, voire illégales, parmi les plus fréquentes des retards indus pour formuler une réponse et des refus non motivés. Certaines ont aussi ajusté leur stratégie commerciale en recourant davantage à la segmentation et en s’alignant sur les offres concurrentes. 

Il devenait urgent de rendre effectif le libre choix et faciliter le changement du contrat d’assurance emprunteur. En février 2022, le Parlement a adopté la loi Lemoine, une réglementation qui vient supplanter les lois Hamon et Bourquin depuis le 1er juin 2022.

La révolution Lemoine en assurance emprunteur

Le cadre réglementaire de l’assurance de prêt immobilier s’est nettement simplifié depuis l’entrée en application de la loi Lemoine. En supprimant toute date butoir pour engager une démarche de changement de contrat, cet ultime dispositif lève un verrou majeur, utilisé par les banques pour empêcher toute demande de résiliation/substitution.

L’assurance de prêt immobilier devient ainsi le seul produit résiliable à tout moment sans engagement minimum, au contraire de l’assurance habitation, de l’assurance auto/moto et de la mutuelle santé qui requièrent toutes une année pleine de souscription avant de pouvoir être substituées. Depuis le 1er septembre, tout emprunteur, quelle que soit l’antériorité de son crédit, peut résilier l’assurance en cours à tout moment, et ce, dès le lendemain de la signature de l’offre de prêt.

Les délais imposés par les précédents dispositifs servaient bien souvent de prétexte aux établissements prêteurs pour jouer la montre. Un grand nombre de demandes de changement ne recevait pas de réponse dans le délai légal de 10 jours ouvrés et/ou n’obtenait pas l’ensemble des motifs de refus dans une réponse unique.

La loi Lemoine remet de l’ordre en soumettant les banques à leurs obligations sous peine de sanction administrative pouvant aller jusqu’à 15 000€ :

  • La banque doit formuler sa réponse à toute demande de changement d’assurance de prêt immobilier dans les 10 jours ouvrés à compter de la réception de la lettre de résiliation.
  • Tout refus doit être motivé par écrit de manière exhaustive sur un document unique.
  • Chaque année, la banque doit informer son client de son droit au changement à tout moment de l’assurance de prêt immobilier.

En optant pour un contrat délégué, tout emprunteur peut réaliser d’importantes économies. On estime que pour un prêt de 250 000€ sur 20 ans le changement d’assurance dans les trois ans suivant la signature de l’offre de prêt peut générer plus de 15 000€ d’économies sur la durée restante du crédit.

Consultez notre baromètre du pouvoir d’achat immobilier pour mesurer l’impact financier de la loi Lemoine sur le budget d’un emprunteur.

Les écueils de la loi Lemoine

Les emprunteurs ont semble-t-il bien compris l’enjeu de la loi Lemoine. Chez le courtier Magnolia.fr, les demandes pour changer d’assurance de prêt immobilier ont grimpé de 200% depuis le 1er septembre. Grâce à l’intervention d’un pôle d’experts, des milliers d’emprunteurs ont fait valoir leur droit au changement et pu réduire de manière significative le coût de leur assurance. Un simple exercice de mise en concurrence via un comparateur d’assurance de prêt immobilier permet d’évaluer le gain potentiel en substituant l’assurance bancaire par un contrat alternatif.

Ne tombons pas dans l’angélisme. La loi Lemoine est révolutionnaire mais perfectible :

  • Les banques ont toujours le dernier mot et peuvent faire preuve de mauvaise foi dans l’appréciation de l’équivalence des garanties sans que l’emprunteur soit en capacité d’argumenter.
  • Le double prélèvement n’est pas rare quand la banque modifie unilatéralement la date de prise d’effet du nouveau contrat d’assurance.
  • Il arrive également que l’avenant au contrat tarde à être émis, ce qui retarde d’autant le bénéfice de la délégation d’assurance. Certains courtiers suggèrent que soit supprimé cet avenant, qui n’apporte aucune information additionnelle à l’emprunteur.
  • Plus grave est le non-respect du mandat de mobilité confié au courtier en assurance de prêt immobilier.

La loi Lemoine a par ailleurs un effet boomerang sur les tarifs en vertu d‘une autre mesure phare qu’elle contient : la suppression du questionnaire de santé pour les emprunteurs dont le cumul des prêts assurés est inférieur à 200 000€, avec un terme avant leur 60ème anniversaire. Dans l’impossibilité de tarifer au risque, les assureurs ont augmenté leurs prix sur ce segment, de l’ordre de 20% à 25% selon le premier bilan de la loi Lemoine 2022 dressé par un récent rapport de l’Assemblée Nationale.

 

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Santé dentaire : vers un remboursement des implants en 2025

Jusqu’à présent, les implants dentaires ne bénéficient d’aucun remboursement de la part de l’Assurance maladie. Les mutuelles peuvent proposer une prise en charge qui reste partielle et ne couvre jamais la lourde dépense engagée. Cela pourrait changer à l’avenir. La Haute Autorité de Santé (HAS) se dit favorable au remboursement des implants, comme cela se fait déjà pour les prothèses dentaires. Remboursement implant dentaire : avis favorable de la HAS Pour améliorer l’accès aux soins dentaires, la HAS s’est prononcée, mercredi 6 novembre, en faveur du remboursement des actes implanto-prothétiques par l’Assurance maladie. En cas de dent(s) manquante(s), l’autorité de santé recommande que soit garantie la prise en charge financière des implants dentaires selon des modalités qui reste à définir. Actuellement, la seule option remboursée pour un patient édenté est la pose d’un bridge via le dispositif 100% Santé : après intervention de la Sécurité Sociale et de la mutuelle santé, le remboursement est intégral si l’équipement est sélectionné dans le panier sans reste à charge, ou partiel sur la base de tarifs encadrés ou libres. Le défaut du bridge est de détériorer les dents voisines car il s’appuie sur elles.  En revanche, l’implant dentaire s’avère non seulement la solution prothétique la plus esthétique, mais il évite surtout d’endommager les dents situées à gauche et à droite de la dent manquante. La HAS étudie la pertinence de la prise en charge financière des implants pour 2 types d’édentement : Édentement complet par prothèse amovible complète implanto-retenue (PACIR) : cette solution améliore la stabilité des dentiers. Édentement unitaire (une ou deux dents) prothèse fixée unitaire supra-implantaire (PFUSI) : ce dispositif permet de conserver les dents saines adjacentes contrairement au bridge traditionnel. En France, comme partout ailleurs dans le monde, le nombre de personnes édentées ne cesse d’augmenter en raison de l’allongement de l’espérance de vie. D’ici 2030, environ 30% de la population mondiale serait touchée par un édentement total. Perdre une ou plusieurs dents, voire se retrouver complètement édenté, constitue un triple handicap (fonctionnel, esthétique et social) qui a des conséquences sur la santé en général, comme la dénutrition. Malgré l’absence de prise en charge par le régime général, un million d’implants dentaires ont été réalisés en France en 2023. Implants : La solution pour une bonne santé bucco-dentaire Restaurer sourire et fonction Les implants dentaires représentent aujourd'hui la solution médicale la plus performante pour remplacer une dent manquante. Au-delà de l'aspect esthétique, ils garantissent une reconstruction complète et durable de l'appareil dentaire. Bénéfices essentiels :  Préservation de la structure osseuse : L'implant stimule naturellement l'os maxillaire, prévenant sa fonte progressive. Restauration complète de la mastication : Efficacité identique à une dent naturelle. Protection des dents adjacentes : Évite la migration et le déséquilibre dentaire. Technique moderne Réalisés en titane biocompatible, les implants s'intègrent parfaitement à la mâchoire. La pose, réalisée par des professionnels experts, garantit une intervention minimaliste et un résultat optimal. Santé globale Un implant dentaire ne répond pas simplement à un problème local. Il contribue significativement au bien-être général : meilleure alimentation, confiance restaurée et prévention des complications à long terme. Choisir un implant, c'est préserver durablement sa qualité de vie, mais son coût peut être un frein. Quel est le prix moyen d’un implant dentaire ? Le coût d'un implant dentaire varie significativement selon plusieurs facteurs essentiels. En moyenne, les patients peuvent s'attendre à investir entre 1 500 € et 3 500 € par implant. Cette fourchette de prix dépend de plusieurs paramètres : Complexité de l'intervention chirurgicale : Les cas nécessitant une greffe osseuse ou un traitement préalable augmentent naturellement le coût total. Expertise du praticien : Un chirurgien-dentiste spécialisé et expérimenté proposera généralement des tarifs plus élevés. Qualité des matériaux utilisés : L'implant peut être réalisé en titane ou en zircone, avec des prix variant selon la technologie. Localisation géographique : Les tarifs diffèrent sensiblement entre les grandes métropoles et les zones rurales. Comment sont remboursés les implants dentaires par les mutuelles ? Remboursement Sécurité Sociale La Sécurité sociale ne prend malheureusement pas en charge l’implantologie dentaire, la considérant comme un acte de convenance. Les patients doivent donc supporter l'intégralité du coût. Remboursement par la mutuelle Les mutuelles proposent différentes approches de remboursement : 1 - Niveau de garantie Les contrats les plus complets peuvent rembourser entre 30% et 70% du coût de l'implant. Certaines mutuelles appliquent des plafonds annuels spécifiques qui peuvent aller au-delà de 1000€. 2 - Options de remboursement Certaines mutuelles proposent des forfaits prothèses et implants dentaires. D'autres incluent une partie des implants dans leurs garanties "soins dentaires". Comment optimiser le remboursement d’un implant dentaire  Vérifiez précisément votre contrat mutuelle Demandez des devis détaillés auprès des chirurgiens-dentistes Comparez plusieurs mutuelles avant souscription La surcomplémentaire dentaire peut s’avérer une alternative pertinente pour diminuer voire supprimer le reste à charge sur les implants dentaires. Il convient d’arbitrer entre le surcoût représenté par ce 3ème niveau de couverture et le reste à charge que vous êtes prêt à assumer avec votre mutuelle actuelle. Un implant dentaire représente un investissement dans votre santé et votre bien-être. Malgré son coût élevé, c'est une solution durable et esthétique pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Un grand pas vient d’être fait en faveur du remboursement de cet acte prothétique onéreux. Reste à savoir quand la mesure sera mise en œuvre et quel sera le niveau de ce remboursement.

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Changement d'assurance prêt immobilier : -60% sur vos cotisations

L'assurance emprunteur représente une part significative du coût total de votre crédit immobilier. Grâce à la loi Lemoine entrée en vigueur en 2022, vous pouvez désormais réaliser jusqu'à 60% d'économies sur vos cotisations d'assurance de prêt en changeant de formule. Découvrez comment optimiser votre contrat et réduire significativement vos mensualités. Pourquoi changer d'assurance de prêt immobilier ? L'assurance emprunteur est imposée par la banque lors de la souscription d'un crédit immobilier. Elle protège à la fois l'emprunteur et le prêteur en cas d'invalidité, décès ou d’incapacité temporaire de travail. Cependant, les contrats proposés par les banques sont très souvent plus chers que ceux des assureurs spécialisés. Des économies considérables à la clé Économie moyenne entre 5 000€ et 15 000€ sur la durée totale du prêt Réduction pouvant atteindre 60% des cotisations mensuelles Obligation de respecter l’équivalence de niveau de garanties entre les 2 contrats La loi Lemoine : un tournant majeur pour les emprunteurs Cette réforme historique a bouleversé le marché de l'assurance emprunteur en introduisant trois changements majeurs : Résiliation à tout moment de votre contrat, sans attendre la date d’échéance ni engagement minimum de souscription Suppression du questionnaire médical pour les prêts n’excédant pas 200 000€ et remboursés avant le 60ème anniversaire de l’emprunteur Réduction du délai du droit à l'oubli pour les personnes ayant eu un cancer de 10 à 5 ans ; droit également applicable à l’hépatite C. Le processus de résiliation simplifié La résiliation de votre contrat actuel peut s'effectuer en quelques étapes simples : Demander une délégation d'assurance auprès d'un nouvel assureur Obtenir une proposition avec des garanties au moins équivalentes Envoyer votre demande de résiliation à votre assureur actuel Attendre la validation de votre banque : la réglementation lui impose de formuler sa réponse dans les 10 jours ouvrés. Comment obtenir la meilleure offre d'assurance emprunteur ? Pour maximiser vos économies, plusieurs facteurs sont à prendre en compte : Comparer les offres du marché Utiliser des comparateurs en ligne spécialisés Solliciter plusieurs devis personnalisés Analyser attentivement les garanties proposées Critères à prendre en compte Taux de couverture proposé : l'indicateur du coût de l'assurance est le TAEA ou Taux Annuel Effectif Assurance, obligatoirement mentionné dans tous les supports et contrats (en pourcentage du capital emprunté) Étendue des garanties (décès, invalidité, incapacité de travail, voire perte d'emploi) Exclusions de garantie et possibilité de rachat d’exclusions des maladies non objectivables Délais de carence éventuels Les garanties essentielles à maintenir Pour que votre nouvelle assurance soit acceptée par la banque, certaines garanties sont incontournables : Décès et Perte Totale et Irréversible d'Autonomie (PTIA) : couverture socle de tout contrat d'assurance emprunteur Incapacité Temporaire Totale de travail (ITT) Invalidité Permanente Totale ou Partielle (IPT/IPP) Le niveau minimum de couverture est défini par la banque et vous est communiqué via la fiche standardisée d’information remise lors de votre demande de prêt, et la fiche personnalisée qui détaille les garanties spécifiques à votre profil et votre projet immobilier. Focus sur les niveaux de couverture Le pourcentage de couverture doit être adapté à votre situation : Quotité assurance de prêt à 100% recommandée pour l'emprunteur principal (si emprunt à 2), celui qui touche les revenus les plus élevés Possibilité de moduler la couverture pour le co-emprunteur Adaptation selon les risques incarnés par chaque emprunteur Profils éligibles aux meilleures réductions Certains profils peuvent bénéficier de tarifs particulièrement avantageux : Jeunes emprunteurs en bonne santé Cadres avec une profession stable Non-fumeurs Personnes pratiquant une activité sportive régulière Cas pratique : exemple d'économies réalisées Pour un prêt de 250 000€ sur 20 ans (emprunteur âgé entre 25 et 35 ans) : Assurance bancaire au taux moyen de 0,34% : 57€/mois Assurance alternative au taux de 0,09% (taux moyen chez Magnolia.fr pour ce profil) : 15€/mois Économie réalisée : 42€/mois, soit 10 000€ sur la durée du prêt Comment procéder au changement d'assurance ? Pour changer d'assurance de prêt, suivez ces étapes : Rassemblez les documents nécessaires Tableau d'amortissement Conditions générales de votre assurance actuelle Notice d'information (conditions générales) Comparez les offres du marché Utilisez plusieurs comparateurs Contactez des courtiers spécialisés Demandez des devis personnalisés Vérifiez l'équivalence des garanties Analysez les exclusions Comparez les définitions de garanties Vérifiez les délais de franchise Changer d’assurance de prêt, une démarche rentable à long terme La renégociation de votre assurance de prêt immobilier représente une opportunité significative d'économies. Avec des réductions pouvant atteindre 60% de vos cotisations actuelles, cette démarche mérite d'être entreprise, d'autant plus que la loi Lemoine a considérablement simplifié le processus. N'hésitez pas à vous faire accompagner par un courtier spécialisé pour optimiser vos chances d'obtenir la meilleure offre possible tout en conservant des garanties optimales pour votre prêt immobilier.