Assurance emprunteur : comment payer jusqu’à 70% moins cher ?

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L’accès au crédit immobilier est devenu plus compliqué en 2023 suite à la hausse marquée des taux d’intérêts à laquelle on ajoute la problématique de l’usure. Pour surmonter l’obstacle et faire baisser le coût du crédit, une seule solution : la délégation d’assurance emprunteur. En souscrivant une assurance externe souvent beaucoup moins chère que celle de la banque, vous optimisez vos chances de décrocher le financement de votre projet immobilier.

Hausse des taux et usure : ça coince pour le crédit immobilier !

Amorcée début 2022, la remontée des taux d’intérêts semble sans fin. Chaque mois, sans exception, les valeurs gagnent en moyenne une vingtaine de points de base, passant de 1% sur 20 ans fin 2021 à plus de 3,50% en juin 2023 sur la durée de 20 ans (hors assurance de prêt et coût des sûretés). En un an et demi, les emprunteurs ont perdu 20% de capacité d'emprunt.

Un taux à près de 4% n’est pas en soi un obstacle pour emprunter. Cela reste inférieur au niveau de l’inflation (5,1% sur un an en mai 2023). En revanche, le frein est mis par le taux d’usure dont la révision trimestrielle n’était pas en rythme avec l’envolée des taux d’intérêts. Pour bien comprendre le problème, rappelons que le taux d’usure renvoie au TAEG (Taux Annuel Effectif Global) que les banques ne doivent pas dépasser lors de l’octroi du crédit. Le TAEG est l’agrégation de tous les frais liés à l’obtention du financement, les intérêts additionnées des frais annexes (assurance emprunteur, frais de dossier, garantie, etc.).

Pour tenter de fluidifier l’accès au crédit immobilier, la Banque de France décide de mensualiser le taux d’usure à partir de février 2023 pour une durée provisoire de six mois, qui a été tout récemment prolongée jusqu’à fin 2023. La nouvelle hausse du taux d’usure en juin 2023 s’inscrit dans cette logique mathématique : les taux d’intérêts augmentent donc l’usure progresse. Mais la marge de manœuvre est souvent insuffisante compte tenu du temps de retard des données utilisées pour le calcul de l’usure avec la réalité du terrain.

En juin 2023, le taux d’usure est fixé à 4,68% pour les prêts d’une durée de 20 ans et plus. Avec un taux d’emprunt de 3,70% sur 20 ans, ce qui est meilleur que le taux moyen constaté, il reste à peine 100 points pour intégrer les autres frais imposés, ce qui peut être trop juste en fonction du profil de l’emprunteur. Le problème se creuse si vous empruntez sur 25 ans, car le taux d’usure reste le même.

Voyons comment le libre choix de l’assurance emprunteur permet de détendre cette tension sur le TAEG.

Délégation d’assurance emprunteur pour économiser

Depuis septembre 2010, tout emprunteur peut souscrire une assurance autre que celle proposée par sa banque. En vertu de la loi Lagarde, vous avez le droit de refuser l’assurance bancaire pour lui préférer une offre alternative à garanties au moins équivalentes.

L’assurance de prêt est une dépense obligatoire si l’on veut décrocher son crédit immobilier. Deuxième coût après les intérêts, elle est malheureusement souvent reléguée au second plan par l’emprunteur, focalisé sur la négociation du taux nominal et l’obtention de son financement dans les plus brefs délais.

En moyenne, l’assurance pèse un tiers du coût global d’un crédit immobilier. Destinée à sécuriser le prêt en cas de défaillance de l’emprunteur (décès, incapacité de travail et invalidité), elle coûte plus cher en cas de risques accrus (âge, santé, profession). Et parmi tous les frais compris dans le TAEG, l’assurance représente le seul levier significatif d’économies compte tenu de son poids dans le coût global.

À garanties équivalentes, une assurance individuelle est jusqu’à trois fois moins onéreuse que l’offre groupe bancaire. En mettant les contrats en concurrence via un comparateur d’assurance de prêt immobilier, vous constatez le delta qui sépare les formules alternatives de l’assurance présentée par votre banque. Pour bien mettre en balance les offres, appuyez-vous sur la fiche standardisée d’information remise par le prêteur : ce document contient la liste et le niveau des garanties exigées pour l’octroi du prêt.

Prenons deux exemples pour illustrer l’intérêt financier de souscrire une assurance externe :

 

  • Profil 1 : cadre de 30 ans, sans antécédent de santé et non-fumeur, qui emprunte 250 000€ sur 20 ans au taux nominal de 3,75%

  • Profil 2 : couple de 42 ans, sans antécédent de santé et non-fumeur, qui emprunte 450 000€ sur 25 ans au taux nominal de 3,90% ; assurance avec une quotité à 50% sur chaque tête

 

 

Taux assurance bancaire

TAEG* avec assurance bancaire

Taux assurance déléguée

TAEG* avec assurance déléguée

Gain

Profil 1

0,34%

4,37%

0,11%

4%

11 500€

Profil 2

0,54%

4,80%

0,13%

4,17%

46 065€

*TAEG hors frais de dossier et garantie

Le profil 2 n’obtient pas son crédit immobilier s’il est couvert par l’assurance bancaire, car le TAEG excède l’usure avant même de pouvoir ajouter les autres frais. Avec une assurance déléguée 70% moins chère, le TAEG se situe largement sous l’usure et le couple peut même rehausser la quotité d’assurance de prêt à 100% sur chaque tête pour optimiser sa protection : le gain est alors divisé par deux.

La délégation d’assurance emprunteur est une des astuces pour rester sous le taux d’usure en 2023, cela reste toutefois la seule option pertinente pour tirer drastiquement le TAEG vers le bas et décrocher le graal.

Si vous détenez un prêt immobilier, profitez vous aussi de la délégation d’assurance emprunteur grâce à la loi Lemoine qui fête sa première année. Ce texte réglementaire entré en vigueur le 1er juin 2022 vous permet de changer d’assurance de prêt immobilier à tout moment et sans frais, sans attendre la date d’échéance du contrat. Consultez notre baromètre du pouvoir d’achat immobilier de mai 2023 pour constater tout le bénéfice financier de substituer l’assurance bancaire par une offre externe beaucoup plus compétitive.

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Retirer le montant des équipements du prix de vente : vous avez le droit de demander la dissociation du prix de vente et des biens mobiliers (cuisine, salle de bain, électroménager, etc.), dans la limite de 5% de la valeur du bien. Important : les primo-accédants et les personnes qui achètent un bien neuf, qu'elles soient primo ou secundo-accédantes, seront exemptés de la hausse des frais de notaire en 2025. Modification de la taxation des plus-values immobilières Plus-values sur la résidence principale Jusqu’à présent, la plus-value éventuelle sur la vente de la résidence principale est totalement exonérée d’impôt. Un amendement au Projet de Loi de Finances 2025 (PLF 2025) prévoit de conditionner cette exonération à une durée minimale de détention de 5 ans. L’objectif est de faire obstacle aux spéculateurs qui achètent un bien, puis le revendent rapidement, bénéficiant ainsi de l’avantage fiscal. 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Un amendement prévoit de supprimer les abattements pour durée de détention et d’appliquer un abattement calculé à partir du prix d’achat actualisé en fonction de l’inflation. La plus-value serait alors taxée à 30%, identique à la flat tax appliquée sur les produits de placement. Si la réforme est votée, elle se mettra en place à partir de janvier 2026 pour les terrains à bâtir et de janvier 2027 pour les biens construits. Changement du régime fiscal sur les locations meublées Les propriétaires sous statut LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel) ne pourront plus profiter de la déduction d’une partie des charges de leurs revenus locatifs en cas de vente. Le PLF 2025 supprime l’avantage fiscal lié à l’amortissement lors de la revente du bien : la somme des amortissements déduits sera en effet réintégrée dans le calcul de la plus-value. 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Santé dentaire : vers un remboursement des implants en 2025

Jusqu’à présent, les implants dentaires ne bénéficient d’aucun remboursement de la part de l’Assurance maladie. Les mutuelles peuvent proposer une prise en charge qui reste partielle et ne couvre jamais la lourde dépense engagée. Cela pourrait changer à l’avenir. La Haute Autorité de Santé (HAS) se dit favorable au remboursement des implants, comme cela se fait déjà pour les prothèses dentaires. Remboursement implant dentaire : avis favorable de la HAS Pour améliorer l’accès aux soins dentaires, la HAS s’est prononcée, mercredi 6 novembre, en faveur du remboursement des actes implanto-prothétiques par l’Assurance maladie. En cas de dent(s) manquante(s), l’autorité de santé recommande que soit garantie la prise en charge financière des implants dentaires selon des modalités qui reste à définir. Actuellement, la seule option remboursée pour un patient édenté est la pose d’un bridge via le dispositif 100% Santé : après intervention de la Sécurité Sociale et de la mutuelle santé, le remboursement est intégral si l’équipement est sélectionné dans le panier sans reste à charge, ou partiel sur la base de tarifs encadrés ou libres. Le défaut du bridge est de détériorer les dents voisines car il s’appuie sur elles.  En revanche, l’implant dentaire s’avère non seulement la solution prothétique la plus esthétique, mais il évite surtout d’endommager les dents situées à gauche et à droite de la dent manquante. La HAS étudie la pertinence de la prise en charge financière des implants pour 2 types d’édentement : Édentement complet par prothèse amovible complète implanto-retenue (PACIR) : cette solution améliore la stabilité des dentiers. Édentement unitaire (une ou deux dents) prothèse fixée unitaire supra-implantaire (PFUSI) : ce dispositif permet de conserver les dents saines adjacentes contrairement au bridge traditionnel. En France, comme partout ailleurs dans le monde, le nombre de personnes édentées ne cesse d’augmenter en raison de l’allongement de l’espérance de vie. D’ici 2030, environ 30% de la population mondiale serait touchée par un édentement total. Perdre une ou plusieurs dents, voire se retrouver complètement édenté, constitue un triple handicap (fonctionnel, esthétique et social) qui a des conséquences sur la santé en général, comme la dénutrition. Malgré l’absence de prise en charge par le régime général, un million d’implants dentaires ont été réalisés en France en 2023. Implants : La solution pour une bonne santé bucco-dentaire Restaurer sourire et fonction Les implants dentaires représentent aujourd'hui la solution médicale la plus performante pour remplacer une dent manquante. Au-delà de l'aspect esthétique, ils garantissent une reconstruction complète et durable de l'appareil dentaire. Bénéfices essentiels :  Préservation de la structure osseuse : L'implant stimule naturellement l'os maxillaire, prévenant sa fonte progressive. Restauration complète de la mastication : Efficacité identique à une dent naturelle. Protection des dents adjacentes : Évite la migration et le déséquilibre dentaire. Technique moderne Réalisés en titane biocompatible, les implants s'intègrent parfaitement à la mâchoire. La pose, réalisée par des professionnels experts, garantit une intervention minimaliste et un résultat optimal. Santé globale Un implant dentaire ne répond pas simplement à un problème local. Il contribue significativement au bien-être général : meilleure alimentation, confiance restaurée et prévention des complications à long terme. Choisir un implant, c'est préserver durablement sa qualité de vie, mais son coût peut être un frein. Quel est le prix moyen d’un implant dentaire ? Le coût d'un implant dentaire varie significativement selon plusieurs facteurs essentiels. En moyenne, les patients peuvent s'attendre à investir entre 1 500 € et 3 500 € par implant. Cette fourchette de prix dépend de plusieurs paramètres : Complexité de l'intervention chirurgicale : Les cas nécessitant une greffe osseuse ou un traitement préalable augmentent naturellement le coût total. Expertise du praticien : Un chirurgien-dentiste spécialisé et expérimenté proposera généralement des tarifs plus élevés. Qualité des matériaux utilisés : L'implant peut être réalisé en titane ou en zircone, avec des prix variant selon la technologie. Localisation géographique : Les tarifs diffèrent sensiblement entre les grandes métropoles et les zones rurales. Comment sont remboursés les implants dentaires par les mutuelles ? Remboursement Sécurité Sociale La Sécurité sociale ne prend malheureusement pas en charge l’implantologie dentaire, la considérant comme un acte de convenance. Les patients doivent donc supporter l'intégralité du coût. Remboursement par la mutuelle Les mutuelles proposent différentes approches de remboursement : 1 - Niveau de garantie Les contrats les plus complets peuvent rembourser entre 30% et 70% du coût de l'implant. Certaines mutuelles appliquent des plafonds annuels spécifiques qui peuvent aller au-delà de 1000€. 2 - Options de remboursement Certaines mutuelles proposent des forfaits prothèses et implants dentaires. D'autres incluent une partie des implants dans leurs garanties "soins dentaires". Comment optimiser le remboursement d’un implant dentaire  Vérifiez précisément votre contrat mutuelle Demandez des devis détaillés auprès des chirurgiens-dentistes Comparez plusieurs mutuelles avant souscription La surcomplémentaire dentaire peut s’avérer une alternative pertinente pour diminuer voire supprimer le reste à charge sur les implants dentaires. Il convient d’arbitrer entre le surcoût représenté par ce 3ème niveau de couverture et le reste à charge que vous êtes prêt à assumer avec votre mutuelle actuelle. Un implant dentaire représente un investissement dans votre santé et votre bien-être. Malgré son coût élevé, c'est une solution durable et esthétique pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Un grand pas vient d’être fait en faveur du remboursement de cet acte prothétique onéreux. Reste à savoir quand la mesure sera mise en œuvre et quel sera le niveau de ce remboursement.

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Changement d'assurance prêt immobilier : -60% sur vos cotisations

L'assurance emprunteur représente une part significative du coût total de votre crédit immobilier. Grâce à la loi Lemoine entrée en vigueur en 2022, vous pouvez désormais réaliser jusqu'à 60% d'économies sur vos cotisations d'assurance de prêt en changeant de formule. Découvrez comment optimiser votre contrat et réduire significativement vos mensualités. Pourquoi changer d'assurance de prêt immobilier ? L'assurance emprunteur est imposée par la banque lors de la souscription d'un crédit immobilier. Elle protège à la fois l'emprunteur et le prêteur en cas d'invalidité, décès ou d’incapacité temporaire de travail. Cependant, les contrats proposés par les banques sont très souvent plus chers que ceux des assureurs spécialisés. Des économies considérables à la clé Économie moyenne entre 5 000€ et 15 000€ sur la durée totale du prêt Réduction pouvant atteindre 60% des cotisations mensuelles Obligation de respecter l’équivalence de niveau de garanties entre les 2 contrats La loi Lemoine : un tournant majeur pour les emprunteurs Cette réforme historique a bouleversé le marché de l'assurance emprunteur en introduisant trois changements majeurs : Résiliation à tout moment de votre contrat, sans attendre la date d’échéance ni engagement minimum de souscription Suppression du questionnaire médical pour les prêts n’excédant pas 200 000€ et remboursés avant le 60ème anniversaire de l’emprunteur Réduction du délai du droit à l'oubli pour les personnes ayant eu un cancer de 10 à 5 ans ; droit également applicable à l’hépatite C. Le processus de résiliation simplifié La résiliation de votre contrat actuel peut s'effectuer en quelques étapes simples : Demander une délégation d'assurance auprès d'un nouvel assureur Obtenir une proposition avec des garanties au moins équivalentes Envoyer votre demande de résiliation à votre assureur actuel Attendre la validation de votre banque : la réglementation lui impose de formuler sa réponse dans les 10 jours ouvrés. Comment obtenir la meilleure offre d'assurance emprunteur ? Pour maximiser vos économies, plusieurs facteurs sont à prendre en compte : Comparer les offres du marché Utiliser des comparateurs en ligne spécialisés Solliciter plusieurs devis personnalisés Analyser attentivement les garanties proposées Critères à prendre en compte Taux de couverture proposé : l'indicateur du coût de l'assurance est le TAEA ou Taux Annuel Effectif Assurance, obligatoirement mentionné dans tous les supports et contrats (en pourcentage du capital emprunté) Étendue des garanties (décès, invalidité, incapacité de travail, voire perte d'emploi) Exclusions de garantie et possibilité de rachat d’exclusions des maladies non objectivables Délais de carence éventuels Les garanties essentielles à maintenir Pour que votre nouvelle assurance soit acceptée par la banque, certaines garanties sont incontournables : Décès et Perte Totale et Irréversible d'Autonomie (PTIA) : couverture socle de tout contrat d'assurance emprunteur Incapacité Temporaire Totale de travail (ITT) Invalidité Permanente Totale ou Partielle (IPT/IPP) Le niveau minimum de couverture est défini par la banque et vous est communiqué via la fiche standardisée d’information remise lors de votre demande de prêt, et la fiche personnalisée qui détaille les garanties spécifiques à votre profil et votre projet immobilier. Focus sur les niveaux de couverture Le pourcentage de couverture doit être adapté à votre situation : Quotité assurance de prêt à 100% recommandée pour l'emprunteur principal (si emprunt à 2), celui qui touche les revenus les plus élevés Possibilité de moduler la couverture pour le co-emprunteur Adaptation selon les risques incarnés par chaque emprunteur Profils éligibles aux meilleures réductions Certains profils peuvent bénéficier de tarifs particulièrement avantageux : Jeunes emprunteurs en bonne santé Cadres avec une profession stable Non-fumeurs Personnes pratiquant une activité sportive régulière Cas pratique : exemple d'économies réalisées Pour un prêt de 250 000€ sur 20 ans (emprunteur âgé entre 25 et 35 ans) : Assurance bancaire au taux moyen de 0,34% : 57€/mois Assurance alternative au taux de 0,09% (taux moyen chez Magnolia.fr pour ce profil) : 15€/mois Économie réalisée : 42€/mois, soit 10 000€ sur la durée du prêt Comment procéder au changement d'assurance ? Pour changer d'assurance de prêt, suivez ces étapes : Rassemblez les documents nécessaires Tableau d'amortissement Conditions générales de votre assurance actuelle Notice d'information (conditions générales) Comparez les offres du marché Utilisez plusieurs comparateurs Contactez des courtiers spécialisés Demandez des devis personnalisés Vérifiez l'équivalence des garanties Analysez les exclusions Comparez les définitions de garanties Vérifiez les délais de franchise Changer d’assurance de prêt, une démarche rentable à long terme La renégociation de votre assurance de prêt immobilier représente une opportunité significative d'économies. Avec des réductions pouvant atteindre 60% de vos cotisations actuelles, cette démarche mérite d'être entreprise, d'autant plus que la loi Lemoine a considérablement simplifié le processus. N'hésitez pas à vous faire accompagner par un courtier spécialisé pour optimiser vos chances d'obtenir la meilleure offre possible tout en conservant des garanties optimales pour votre prêt immobilier.