Assurance emprunteur : réduisez son coût grâce à 5 astuces

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Souscrire une assurance emprunteur est une étape indispensable lors de la contraction d’un prêt immobilier. Elle permet de protéger aussi bien l'emprunteur que le prêteur en cas d'incapacité à rembourser le prêt, que ce soit pour des raisons de santé, de décès ou d’invalidité. Cependant, cette couverture représente un coût non négligeable qui peut significativement augmenter le montant total de votre crédit immobilier. Heureusement, il existe plusieurs moyens de réduire les frais de cette assurance tout en maintenant une protection optimale. Dans cet article, nous vous dévoilons 5 astuces pour alléger le coût de votre assurance emprunteur.

Astuce 1 : Comparez les offres d’assurance emprunteur

La première astuce pour économiser sur votre assurance emprunteur est de comparer les offres disponibles sur le marché. L’immense majorité des emprunteurs souscrivent automatiquement à l'assurance proposée par leur banque, souvent appelée assurance de groupe, sans chercher d’alternatives. Or, il existe de nombreuses compagnies d’assurance qui offrent des produits compétitifs et personnalisés.

Pourquoi comparer les assurances de prêt ?

Comparer les assurances de prêt est essentiel pour réaliser des économies importantes et obtenir une couverture adaptée à vos besoins. Les offres d'assurance emprunteur varient largement en termes de garanties. En comparant, vous pouvez trouver une assurance jusqu’à trois ou quatre fois moins chère que celle proposée par votre banque, tout en bénéficiant de garanties équivalentes, voire meilleures.

Comment comparer efficacement ?

Utilisez un comparateur d'assurances en ligne pour obtenir rapidement un aperçu des offres. Vous pouvez aussi demander des devis personnalisés auprès de plusieurs compagnies pour avoir une idée précise des tarifs proposés en fonction de votre situation (âge, état de santé, montant du prêt, etc.). Cette étape est cruciale, car la différence de prix entre une assurance groupe et une assurance individuelle (ou délégation d'assurance) peut aller jusqu'à 60 %.

De plus, avec la loi Lagarde de 2010, vous avez le droit de choisir librement votre assurance emprunteur. Assurez-vous simplement que les garanties proposées par l’assureur externe soient équivalentes à celles exigées par la banque. Un courtier spécialisé vous aidera à respecter cette condition impérative pour souscrire une assurance déléguée.

Astuce 2 : Profitez de la délégation d’assurance

La réglementation permet de choisir une assurance autre que celle proposée par la banque prêteuse, et ce, même après la souscription du prêt. Ce mécanisme, appelé délégation d’assurance, permet d’opter pour une assurance plus compétitive sans changer les garanties.

Pourquoi la délégation d'assurance est-elle avantageuse ?

Les banques proposent souvent des contrats d’assurance groupe qui mutualisent les risques entre tous les assurés. Cela signifie que les conditions et les tarifs ne sont pas toujours adaptés à votre profil personnel.

En revanche, une délégation d’assurance vous permet de choisir une couverture individualisée, mieux adaptée à vos besoins, et souvent à des tarifs plus attractifs. Les jeunes emprunteurs ou ceux en bonne santé, par exemple, peuvent bénéficier de primes d'assurance nettement inférieures à celles des contrats de groupe.

Quand changer d’assurance ?

Grâce à la loi Lemoine, vous pouvez changer d’assurance emprunteur à tout moment, dès le lendemain de la signature de votre prêt, à condition que le nouveau contrat offre des garanties équivalentes. Avec les dispositifs précédents, la substitution en cours de prêt était possible uniquement durant la première année (loi Hamon) ou à date d’échéance (amendement Bourquin).

Consultez notre baromètre du pouvoir d’achat immobilier de octobre 2024 pour constater combien il est possible d’économiser en changeant rapidement d’assurance emprunteur.

Astuce 3 : Adaptez les garanties et la quotité à votre profil

Une autre astuce pour réduire le coût de votre assurance emprunteur est de bien adapter les garanties en fonction de votre profil et de vos besoins réels. L'assurance emprunteur comprend plusieurs types de garanties, la garantie décès et la garantie PTIA (Perte Totale et Irréversible d’Autonomie) qui forment la couverture socle obligatoire, et les garanties invalidité/incapacité de travail, qui sont facultatives mais nécessaires en fonction du profil. La garantie perte d'emploi est toujours optionnelle.

Quelles garanties sont vraiment nécessaires ?

Les garanties décès/PTIA sont indispensables. En revanche, d'autres garanties peuvent être facultatives en fonction de votre situation personnelle. Par exemple, si vous êtes en CDI et que votre entreprise propose une bonne prévoyance, vous n’avez pas besoin d’une couverture perte d’emploi. Si vous êtes investisseur locatif, les garanties incapacité/invalidité peuvent être superflues en raison des loyers perçus qui constituent une protection financière aux yeux de la banque.

Il est donc important de bien évaluer vos besoins avant de choisir les garanties. Opter pour une couverture plus légère ou ajustée à votre situation permet de réduire significativement le montant de vos primes mensuelles.

Astuce 4 : Négociez les taux de votre assurance emprunteur

Une autre manière de réduire le coût de votre assurance emprunteur est de négocier les taux directement avec l’assureur. Les primes de l’assurance emprunteur sont calculées en fonction du montant du prêt, de votre âge, de votre état de santé et des garanties choisies.

Comment négocier efficacement ?

Si vous êtes en bonne santé et que vous ne présentez pas de risques médicaux particuliers, vous pouvez essayer de négocier un tarif plus avantageux. Pour cela, n’hésitez pas à solliciter plusieurs devis et à les utiliser comme levier lors de vos discussions avec les assureurs. Les prestataires peuvent être ouverts à des négociations, surtout si vous êtes un profil à faible risque.

De plus, certains assureurs peuvent proposer des réductions si vous souscrivez à plusieurs contrats chez eux (assurance habitation, automobile, etc.). N'hésitez pas à poser la question pour voir si des rabais peuvent s'appliquer.

Astuce 5 : Optimisez la durée et le montant assuré

Enfin, il est possible d’économiser sur votre assurance emprunteur en optimisant la durée du contrat et le montant assuré. En effet, plus la durée de remboursement du prêt est longue, plus vous paierez de primes d’assurance sur une période étendue.

Comment ajuster la durée du contrat ?

Si vous êtes en mesure de rembourser votre prêt sur une période plus courte, cela peut être avantageux non seulement pour réduire le coût total de l’assurance, mais aussi pour limiter les intérêts du prêt. Il est donc recommandé, dans la mesure du possible, de choisir une durée de remboursement qui vous permet de trouver le meilleur équilibre entre mensualités et frais d’assurance.

Réduire le montant assuré

Une stratégie efficace pour réduire le coût de votre assurance emprunteur consiste à ajuster la quotité d’assurance de prêt. Elle représente la part du capital couvert par l'assurance pour chaque co-emprunteur.

Par exemple, deux emprunteurs peuvent répartir une couverture à 50 % chacun, plutôt que de souscrire à 100 % chacun, ce qui double le coût du contrat. Cela signifie que l'assurance ne couvre qu'une partie du prêt en cas de décès d’un co-emprunteur, l’autre devant assumer la moitié du remboursement du prêt. En adaptant la quotité en fonction des revenus de chaque emprunteur, il est possible d'économiser sans compromettre la protection de votre prêt immobilier.

Réduire les coûts de votre assurance emprunteur est tout à fait possible grâce à une analyse minutieuse des offres disponibles et à une bonne connaissance de vos droits. En comparant les contrats, en utilisant la délégation d’assurance, en adaptant les garanties à votre profil, en négociant les taux et en optimisant la durée et le montant assuré, vous pouvez économiser des milliers d’euros sur la durée de votre prêt immobilier.

 

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Santé dentaire : vers un remboursement des implants en 2025

Jusqu’à présent, les implants dentaires ne bénéficient d’aucun remboursement de la part de l’Assurance maladie. Les mutuelles peuvent proposer une prise en charge qui reste partielle et ne couvre jamais la lourde dépense engagée. Cela pourrait changer à l’avenir. La Haute Autorité de Santé (HAS) se dit favorable au remboursement des implants, comme cela se fait déjà pour les prothèses dentaires. Remboursement implant dentaire : avis favorable de la HAS Pour améliorer l’accès aux soins dentaires, la HAS s’est prononcée, mercredi 6 novembre, en faveur du remboursement des actes implanto-prothétiques par l’Assurance maladie. En cas de dent(s) manquante(s), l’autorité de santé recommande que soit garantie la prise en charge financière des implants dentaires selon des modalités qui reste à définir. Actuellement, la seule option remboursée pour un patient édenté est la pose d’un bridge via le dispositif 100% Santé : après intervention de la Sécurité Sociale et de la mutuelle santé, le remboursement est intégral si l’équipement est sélectionné dans le panier sans reste à charge, ou partiel sur la base de tarifs encadrés ou libres. Le défaut du bridge est de détériorer les dents voisines car il s’appuie sur elles.  En revanche, l’implant dentaire s’avère non seulement la solution prothétique la plus esthétique, mais il évite surtout d’endommager les dents situées à gauche et à droite de la dent manquante. La HAS étudie la pertinence de la prise en charge financière des implants pour 2 types d’édentement : Édentement complet par prothèse amovible complète implanto-retenue (PACIR) : cette solution améliore la stabilité des dentiers. Édentement unitaire (une ou deux dents) prothèse fixée unitaire supra-implantaire (PFUSI) : ce dispositif permet de conserver les dents saines adjacentes contrairement au bridge traditionnel. En France, comme partout ailleurs dans le monde, le nombre de personnes édentées ne cesse d’augmenter en raison de l’allongement de l’espérance de vie. D’ici 2030, environ 30% de la population mondiale serait touchée par un édentement total. Perdre une ou plusieurs dents, voire se retrouver complètement édenté, constitue un triple handicap (fonctionnel, esthétique et social) qui a des conséquences sur la santé en général, comme la dénutrition. Malgré l’absence de prise en charge par le régime général, un million d’implants dentaires ont été réalisés en France en 2023. Implants : La solution pour une bonne santé bucco-dentaire Restaurer sourire et fonction Les implants dentaires représentent aujourd'hui la solution médicale la plus performante pour remplacer une dent manquante. Au-delà de l'aspect esthétique, ils garantissent une reconstruction complète et durable de l'appareil dentaire. Bénéfices essentiels :  Préservation de la structure osseuse : L'implant stimule naturellement l'os maxillaire, prévenant sa fonte progressive. Restauration complète de la mastication : Efficacité identique à une dent naturelle. Protection des dents adjacentes : Évite la migration et le déséquilibre dentaire. Technique moderne Réalisés en titane biocompatible, les implants s'intègrent parfaitement à la mâchoire. La pose, réalisée par des professionnels experts, garantit une intervention minimaliste et un résultat optimal. Santé globale Un implant dentaire ne répond pas simplement à un problème local. Il contribue significativement au bien-être général : meilleure alimentation, confiance restaurée et prévention des complications à long terme. Choisir un implant, c'est préserver durablement sa qualité de vie, mais son coût peut être un frein. Quel est le prix moyen d’un implant dentaire ? Le coût d'un implant dentaire varie significativement selon plusieurs facteurs essentiels. En moyenne, les patients peuvent s'attendre à investir entre 1 500 € et 3 500 € par implant. Cette fourchette de prix dépend de plusieurs paramètres : Complexité de l'intervention chirurgicale : Les cas nécessitant une greffe osseuse ou un traitement préalable augmentent naturellement le coût total. Expertise du praticien : Un chirurgien-dentiste spécialisé et expérimenté proposera généralement des tarifs plus élevés. Qualité des matériaux utilisés : L'implant peut être réalisé en titane ou en zircone, avec des prix variant selon la technologie. Localisation géographique : Les tarifs diffèrent sensiblement entre les grandes métropoles et les zones rurales. Comment sont remboursés les implants dentaires par les mutuelles ? Remboursement Sécurité Sociale La Sécurité sociale ne prend malheureusement pas en charge l’implantologie dentaire, la considérant comme un acte de convenance. Les patients doivent donc supporter l'intégralité du coût. Remboursement par la mutuelle Les mutuelles proposent différentes approches de remboursement : 1 - Niveau de garantie Les contrats les plus complets peuvent rembourser entre 30% et 70% du coût de l'implant. Certaines mutuelles appliquent des plafonds annuels spécifiques qui peuvent aller au-delà de 1000€. 2 - Options de remboursement Certaines mutuelles proposent des forfaits prothèses et implants dentaires. D'autres incluent une partie des implants dans leurs garanties "soins dentaires". Comment optimiser le remboursement d’un implant dentaire  Vérifiez précisément votre contrat mutuelle Demandez des devis détaillés auprès des chirurgiens-dentistes Comparez plusieurs mutuelles avant souscription La surcomplémentaire dentaire peut s’avérer une alternative pertinente pour diminuer voire supprimer le reste à charge sur les implants dentaires. Il convient d’arbitrer entre le surcoût représenté par ce 3ème niveau de couverture et le reste à charge que vous êtes prêt à assumer avec votre mutuelle actuelle. Un implant dentaire représente un investissement dans votre santé et votre bien-être. Malgré son coût élevé, c'est une solution durable et esthétique pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Un grand pas vient d’être fait en faveur du remboursement de cet acte prothétique onéreux. Reste à savoir quand la mesure sera mise en œuvre et quel sera le niveau de ce remboursement.

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Changement d'assurance prêt immobilier : -60% sur vos cotisations

L'assurance emprunteur représente une part significative du coût total de votre crédit immobilier. Grâce à la loi Lemoine entrée en vigueur en 2022, vous pouvez désormais réaliser jusqu'à 60% d'économies sur vos cotisations d'assurance de prêt en changeant de formule. Découvrez comment optimiser votre contrat et réduire significativement vos mensualités. Pourquoi changer d'assurance de prêt immobilier ? L'assurance emprunteur est imposée par la banque lors de la souscription d'un crédit immobilier. Elle protège à la fois l'emprunteur et le prêteur en cas d'invalidité, décès ou d’incapacité temporaire de travail. Cependant, les contrats proposés par les banques sont très souvent plus chers que ceux des assureurs spécialisés. Des économies considérables à la clé Économie moyenne entre 5 000€ et 15 000€ sur la durée totale du prêt Réduction pouvant atteindre 60% des cotisations mensuelles Obligation de respecter l’équivalence de niveau de garanties entre les 2 contrats La loi Lemoine : un tournant majeur pour les emprunteurs Cette réforme historique a bouleversé le marché de l'assurance emprunteur en introduisant trois changements majeurs : Résiliation à tout moment de votre contrat, sans attendre la date d’échéance ni engagement minimum de souscription Suppression du questionnaire médical pour les prêts n’excédant pas 200 000€ et remboursés avant le 60ème anniversaire de l’emprunteur Réduction du délai du droit à l'oubli pour les personnes ayant eu un cancer de 10 à 5 ans ; droit également applicable à l’hépatite C. Le processus de résiliation simplifié La résiliation de votre contrat actuel peut s'effectuer en quelques étapes simples : Demander une délégation d'assurance auprès d'un nouvel assureur Obtenir une proposition avec des garanties au moins équivalentes Envoyer votre demande de résiliation à votre assureur actuel Attendre la validation de votre banque : la réglementation lui impose de formuler sa réponse dans les 10 jours ouvrés. Comment obtenir la meilleure offre d'assurance emprunteur ? Pour maximiser vos économies, plusieurs facteurs sont à prendre en compte : Comparer les offres du marché Utiliser des comparateurs en ligne spécialisés Solliciter plusieurs devis personnalisés Analyser attentivement les garanties proposées Critères à prendre en compte Taux de couverture proposé : l'indicateur du coût de l'assurance est le TAEA ou Taux Annuel Effectif Assurance, obligatoirement mentionné dans tous les supports et contrats (en pourcentage du capital emprunté) Étendue des garanties (décès, invalidité, incapacité de travail, voire perte d'emploi) Exclusions de garantie et possibilité de rachat d’exclusions des maladies non objectivables Délais de carence éventuels Les garanties essentielles à maintenir Pour que votre nouvelle assurance soit acceptée par la banque, certaines garanties sont incontournables : Décès et Perte Totale et Irréversible d'Autonomie (PTIA) : couverture socle de tout contrat d'assurance emprunteur Incapacité Temporaire Totale de travail (ITT) Invalidité Permanente Totale ou Partielle (IPT/IPP) Le niveau minimum de couverture est défini par la banque et vous est communiqué via la fiche standardisée d’information remise lors de votre demande de prêt, et la fiche personnalisée qui détaille les garanties spécifiques à votre profil et votre projet immobilier. Focus sur les niveaux de couverture Le pourcentage de couverture doit être adapté à votre situation : Quotité assurance de prêt à 100% recommandée pour l'emprunteur principal (si emprunt à 2), celui qui touche les revenus les plus élevés Possibilité de moduler la couverture pour le co-emprunteur Adaptation selon les risques incarnés par chaque emprunteur Profils éligibles aux meilleures réductions Certains profils peuvent bénéficier de tarifs particulièrement avantageux : Jeunes emprunteurs en bonne santé Cadres avec une profession stable Non-fumeurs Personnes pratiquant une activité sportive régulière Cas pratique : exemple d'économies réalisées Pour un prêt de 250 000€ sur 20 ans (emprunteur âgé entre 25 et 35 ans) : Assurance bancaire au taux moyen de 0,34% : 57€/mois Assurance alternative au taux de 0,09% (taux moyen chez Magnolia.fr pour ce profil) : 15€/mois Économie réalisée : 42€/mois, soit 10 000€ sur la durée du prêt Comment procéder au changement d'assurance ? Pour changer d'assurance de prêt, suivez ces étapes : Rassemblez les documents nécessaires Tableau d'amortissement Conditions générales de votre assurance actuelle Notice d'information (conditions générales) Comparez les offres du marché Utilisez plusieurs comparateurs Contactez des courtiers spécialisés Demandez des devis personnalisés Vérifiez l'équivalence des garanties Analysez les exclusions Comparez les définitions de garanties Vérifiez les délais de franchise Changer d’assurance de prêt, une démarche rentable à long terme La renégociation de votre assurance de prêt immobilier représente une opportunité significative d'économies. Avec des réductions pouvant atteindre 60% de vos cotisations actuelles, cette démarche mérite d'être entreprise, d'autant plus que la loi Lemoine a considérablement simplifié le processus. N'hésitez pas à vous faire accompagner par un courtier spécialisé pour optimiser vos chances d'obtenir la meilleure offre possible tout en conservant des garanties optimales pour votre prêt immobilier.